Si les jeunes innus de Mani-utenam parlent de moins en moins l’innu-aimun, il y a parmi eux dans les rues de cette communauté un locuteur pas comme les autres.
Même que son apparence peut porter à confusion quand il parle l’innu-aimun.
Ce Québécois de la Côte-de-Beaupré travaille fort pour sauvegarder à sa façon cette langue ancestrale.